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La bande dessinée « Oradour, L’Innocence assassinée » sort ce vendredi 24 mai 2024. Un ouvrage qui relate le massacre du 10 juin 1944 perpétré par les SS dans le village de Haute-Vienne, pour ne pas oublier, alors que le dernier survivant, Robert Hébras, est décédé en février 2023. Une BD signée Jean-François Miniac au scénario et Bruno Marivain au dessin, qui s’adresse aux nouvelles générations, pour laquelle Philippe Grandcoing et Dominique Danthieux, deux anciens du lycée Gay-Lussac, ont corédigé le dossier documentaire historique en accompagnement.

« La particularité de cet album est qu’il découle d’un souhait formulé par Robert Hébras et que l’Association Oradour, Histoire, Vigilance, Réconciliation a concrétisé. Avant de mourir Robert aura pu voir une partie des planches réalisées. A noter également, le scenario a été validé par des représentants de l’Education Nationale, de l’association des familles de victimes, de la mairie d’Oradour et du Centre de la Mémoire d’Oradour. » nous explique Philippe Grandcoing, historien, auteur et enseignant au Lycée Gay-Lussac de Limoges.

Le Mot de l’éditeur

10 juin 1944. Remontant vers le front de Normandie, la division SS Das Reich détruit Oradour-sur-Glane, un paisible bourg de la Haute-Vienne, et y assassine 643 civils innocents. Seule une poignée d’entre eux parvient à s’extirper du village encerclé par les nazis. Parmi ces survivants, le jeune Robert Hébras. Ce crime de guerre marque à jamais sa vie comme celle des autres victimes, leurs familles et leurs proches.

Au fil des ans, M. Hébras s’y est mué en témoin de l’Histoire, en symbole de la lente réconciliation des peuples : ainsi, en 2013, sa rencontre avec les présidents allemands et français dans les ruines même marque la mémoire collective. L’ultime survivant du massacre aspire ainsi à ce que cette tragédie collective soit portée par bande dessinée afin de sensibiliser davantage encore à la récurrente menace de néfastes idéologies comme du révisionnisme.

C’est dans cet esprit de constante pédagogie, que Robert Hébras initie cet ouvrage choral animé par le plus scrupuleuse véracité historique, puis l’accompagne au fil de la création. Disparu en février 2023, Robert Hébras aura vu le découpage dessiné et la moitié des planches.

  • « Oradour, L’Innocence oubliée » de Jean-François Miniac et Bruno Marivain. Bande dessinée parue aux éditions Anspach. Mai 2024.
    Album BD en couleur, Couverture Cartonnée. Format 241 x 320mm. 88 pages. Prix public 20 €.

 

Dans le cadre du devoir de mémoire, l’association des Anciens du Lycée Gay-Lussac rend chaque année hommage aux morts du lycée. Cette cérémonie s’est déroulée le 20 novembre dernier, à l’issue de l’assemblée générale annuelle, en présence de Monsieur le proviseur du lycée Didier Leroy-Lusson accompagné de quelques élèves du Lycée. Retour sur le discours prononcé avec éloquence par notre camarade Pascal Rouffignac. 

 

Nous sommes au mois de mai 1915. Martial et Marion sont un couple de paysans modestes du village de Lessines, sur la commune de Couzeix. Ils vivent encore douloureusement le décès accidentel de leur fille, à l’âge de 18 mois. Leurs deux fils, Henri et Eugène, sont de solides gaillards de 22 et 21 ans, partis sur le front, bien loin des leurs, appelés, avec tant d’autres, à reprendre l’Alsace-Moselle.

Ils n’ont pas eu la chance de poursuivre leurs études après le certificat. Il est toutefois possible que l’école leur ait fait apprendre que Jules Ferry, pour justifier la politique coloniale de la France, clamait qu’elle était enfermée « dans les étroites limites du traité de Francfort ».

Voilà qu’en ce mois de mai 1915, alors que les travaux de la ferme occupent largement ce couple de quadragénaires, Martial reçoit une lettre du médecin chef de l’ambulance n°7 du 16è Corps d’Armée. Je cite :

« Le soldat Eugène, du 53ème Régiment d’Infanterie, a été apporté à notre ambulance le 1er mai. Un obus l’avait cruellement frappé et, dès la première heure, toutes les craintes étaient légitimes. Nous nous sommes employés de notre mieux, médecins et infirmiers, à adoucir ses derniers moments. Un instant, nous avons pu croire avoir partie gagnée. Mais ce n’était qu’une trêve trompeuse et, dès le 8 mai, notre blessé allait rejoindre au champ de repos à Somme-Suippe ceux de ses camarades qui, comme lui, sont tombés pour la patrie.

Sa tombe est soigneusement entretenue et il sera aisé de le retrouver à la fin de la campagne. Les menus objets trouvés en sa possession ont été dirigés vers Paris, d’où ils vous parviendront.

Veuillez croire, monsieur, à nos sentiments dévoués. »

Henri, quant à lui, partira en mai 1916 pour l’Italie. Le 11 novembre 1918 ne marquera pas pour lui la fin de la campagne car l’armistice ne sonne pas pour autant la démobilisation. Les quelques cartes postales envoyées à ses parents traceront ses périples transalpins. Il ne rentrera en Limousin qu’à la fin de l’année 1919. Il se mariera, donnera naissance à trois filles qui seront élevées dans le souvenir de leur oncle Eugène. Henri et sa mère se rendront d’ailleurs en 1922 à Somme Suippe, pour rapatrier le corps de leur frère et fils, juste avant qu’un beau-frère d’Henri, Jean, ne meure des suites de la guerre.

Discrous au Monument aux morts du Lycée Gay-Lussac

Discours hommage prononcé cette année par Pascal Rouffignac, en présence de Monsieur le proviseur Didier Leroy-Lusson, au Lycée Gay-Lussac de Limoges et de Danièle Bonneau, présidente de l’association.

Et cette famille sera, pour la génération suivante, impactée par un nouveau conflit mondial. Les gendres d’Henri prendront part au combat contre les idéologies mortifères véhiculées par les totalitarismes que subira l’Europe, en même temps qu’ils sauront développer des relations d’estime et d’amitié avec des hommes et des femmes en Allemagne, en Autriche ou en Italie. Henri et les siens, restés en Limousin, assisteront, abasourdis, au drame d’Oradour, au lendemain de celui de Tulle.

L’armistice du 8 mai 1945 sera aussi pour eux le 30ème anniversaire de la mort d’Eugène.

Nous sommes rassemblés ce soir devant ce monument aux morts. Il y a les noms des élèves et personnels du lycée qui ont péri pendant la « Grande Guerre ». Peut-être Henri et Eugène en connaissaient-ils certains. Il convient de mentionner aussi ceux qui ont péri lors du conflit précédent, alors que nous nous rappelons cette année les 150 ans de son dénouement, ainsi que ceux des conflits suivants. Tous ces hommes, jeunes, sont, pour la plupart d’entre nous, des inconnus, mais ils s’enracinent dans des histoires familiales, faites à la fois de beaux moments et de drames. Ils nous appellent à nous nourrir des leçons des événements passés, les yeux tournés vers l’avenir, pour construire la paix.

Et puisque nous sommes dans un lycée, il est bon de mentionner que les échanges scolaires et universitaires, les jumelages, notamment entre des établissements ou régions d’Allemagne et de France ont constitué depuis des décennies un ciment des actes de réconciliation en Europe. Et aujourd’hui, la mondialisation met les antipodes à nos portes : un simple clic suffit. Alors à nous tous la mission, quel que soit notre âge, dans nos paroles et surtout nos actes, de promouvoir la paix, dont nous percevons, à travers les replis frileux et les conflits, qu’elle est encore bien fragile. Puissent nos engagements promouvoir une fraternité dénuée de naïveté et riche de nos histoires et de nos diversités. Il nous faut avancer au large. Toutes ces personnes, dont nous honorons ici fidèlement la mémoire, nous y invitent, voire nous y obligent.

 

En savoir plus sur le Monument au morts du Lycée Gay Lussac.

 

Dans le cadre du devoir de mémoire, l’association des Anciens du Lycée Gay-Lussac rend chaque année hommage aux morts du lycée. Cette cérémonie se déroule traditionnellement au moment de l’assemblée générale annuelle, ajournée cette année pour raisons sanitaires. Nous avons tout de même tenu à maintenir, en accord avec Monsieur le proviseur du lycée Didier Leroy-Lusson ce temps de recueillement.

 

Mot de la Présidente

Je voudrais remercier Monsieur le Proviseur pour sa présence et son accueil et les Associations d’Anciens combattants ainsi que les représentants des élèves.
Cette cérémonie au monument aux morts de notre lycée est toujours un événement marquant et immuable pour notre association des Anciens de Gay-Lu. Et malgré la pandémie, nous avons souhaité avec M. le Proviseur garder ce temps du respect et du souvenir.

Le moment pour nous d’honorer la mémoire de tous ces anciens élèves, professeurs, personnels, qui ont fait le sacrifice de leur vie pour la France.
Notre camarade Michel Kiener désirant intervenir pour un hommage historique, je lui cède bien volontiers la parole.

Hommage au monument aux morts du 14 novembre dernier au Lycée Gay-Lussac – Photo : Fabrice Varieras

Hommage aux morts du lycée Gay-Lussac

Nous détestons les grands mots et pourtant nous sommes là, devant ce monument aux morts comme chaque année, obstinés à rappeler qu’un peuple et une nation ont en effet une histoire, une histoire faite de grands bonheurs mais aussi de sang, de larmes et de servitude surmontés. La Grande Guerre, cette guerre effarante et grotesque au départ, a fait vivre aux combattants l’horreur absolue, au point que les survivants, face à un Arrière abreuvé de propagande grossière et de Fakenews à répétition, face à leurs familles mêmes, se sont tus au retour, comme enterrés vivants. Nous sommes là aujourd’hui pour dire, pour leur dire, que nous savons.

Didier Leroy-Lusson, proviseur du lycée et Danièle Bonneau, présidente de l’association autour de la gerbe déposée au monument le 14 novembre dernier. Photo : Fabrice Varieras

Mais nous, aujourd’hui, au nom des morts qui sont nommés ici et qui n’y sont pour rien, si j’ose dire, personnels et anciens élèves de ce lycée morts pour quoi ?, il nous faut apprendre à faire un pas de plus, apprendre à intégrer à notre récit national, et à les assumer comme tels, tous les morts liés à notre histoire, ceux qui ont fait la fortune de nos ports négriers, et ceux qu’a entraînés, si chaotique, si complexe, si riche aussi en ouvertures culturelles mais aussi en violences primaires, la conquête de notre empire colonial. Ce fut l’histoire de la France républicaine et laïque, de cet « empire de cent millions d’habitants » dont on nous ressassait jour après jour la grandeur il n’y a pas si longtemps encore, l’histoire de cette expansion coloniale qui nous vaut à la fois aujourd’hui

  • une audience à l’international dont nous mesurons mal l’importance,
  • et, sur tous les territoires de la République, la présence d’un potentiel humain – comment le dire autrement ? – d’une grande richesse, notre meilleur gage pour l’avenir. Par ce lycée sont passés tant de Portugais, de juifs étrangers, d’enfants de Pieds-noirs, de réfugiés d’Indochine et d’immigrés !

Et je le dis en n’oubliant rien – pas plus que vous – des drames et des crimes qui nous frappent et nous frapperont encore, n’en doutons pas.
Notre passé fut ainsi fait, de l’absurde des guerres, de crimes de masse et de meurtres politiques insensés, cela ne date pas d’hier. Sauf que nous existons, pays des trois mots clés – liberté, égalité, fraternité – qu’il faut faire vivre, pays d’une concorde laïque voulue et toujours à construire, pays de Marianne aux seins nus rompant les barricades et les codes, au nom de quoi sont morts nos morts de guerre et des révoltes civiles. On a quand même le droit de leur dire, une fois par an, qu’on ne les oublie pas !

En savoir plus sur le Monument aux morts du Lycée Gay-Lussac.

 

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Notre camarade Gérard Terrier, ancien du lycée Gay-Lussac, évoque les souvenirs de son enfance vécue à la Cité des Coutures, l’une des plus anciennes cités ouvrières de Limoges. Il décrit l’esprit de solidarité qui régnait dans ce grand ensemble d’immeubles, ainsi que les personnages qui ont marqué l’histoire récente de la ville.

Couverture Un enfant des couturesLa Cité des Coutures est une des plus anciennes parmi les cités ouvrières de la ville de Limoges. Sa situation, près de la Gare des Bénédictins fait que son histoire est très liée au monde cheminot.
Pour y avoir vécu une partie de son enfance, l’auteur nous plonge dans ce qui fait la vie d’un quartier : ses locaux, ses habitants, leur mode de vie…
Au fil de souvenirs très personnels, nous découvrons l’état d’esprit de cet ensemble d’immeubles où règne une humanité, un sens de la solidarité que l’on ne trouve plus dans ce qu’il est convenu d’appeler « les grands ensembles ».
Ce livre est aussi une galerie de portraits de personnages qui ont marqué l’histoire récente de Limoges ou plus particulièrement la Cité des Coutures.
Laissez-vous prendre au charme suranné de ce récit où l’on perçoit une vraie fidélité à des racines populaires et à des valeurs universelles qu’il est réconfortant de rencontrer encore de nos jours.

Un enfant des couturesEditions de la Veytizou P.L. – Collection : Eclats de villes – Octobre 2018
Reliure : Broché– Format 21 cm x 15 cm – 203 pages – ISBN: 978-2-35192-210-1 – 22€ en librairie

 

Gérard TerrierAncien élève de l’école primaire du boulevard Saint-Maurice et du lycée Gay-Lussac, Gérard TERRIER entre à la Faculté de Médecine de Limoges et il deviendra Médecin hospitalier durant des décennies. En 2004, il est nommé Chef de service des soins palliatifs du C.H.R.U. Dupuytren. Par ailleurs, il s’adonne à l’Écriture avec bonheur et il a publié plusieurs ouvrages aux Editions de La Veytizou, notamment Souvenirs d’un Carabin (2 Tomes) et HOSTO Biographie.

 

Offre spéciale pour les Anciens de Gay-Lu !
Possibilité de commande directe auprès de notre camarade Gérard Terrier : l’auteur propose d’abandonner ses droits, le livre se retrouve alors à 20 €… sans compter la dédicace s’il dispose du prénom de l’acheteur !
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Le monument aux morts du Lycée. Un lieu de mémoire et marque d’espérance dans la solidarité entre les générations.

Monument aux Morts du Lycée Gay-Lussac

Source : www.memorialgenweb.org – Licence d’usage CC BY-NC-SA 2.0

Edifié à l’initiative de l’Association des anciens élèves, le monument aux morts a été inauguré le 16 février 1922.

Il est placé dans le vestibule de l’entrée principale, boulevard Georges Périn. Auparavant un premier monument (aujourd’hui disparu) avait été réalisé en 1877 commémorant les noms des 19 élèves morts durant la guerre de 1870 et qui ont été repris dans l’actuel monument.

A l’occasion du 150ème anniversaire de sa création, l’association des anciens élèves et fonctionnaires du Lycée Gay-Lussac a fait restaurer le monument en 2017.

 

Le monument se compose d’un bas relief de marbre blanc, œuvre du sculpteur Pierre-Félix Masseau, dit Fix-Masseau supporté par deux consoles à denticules et sommé d’un vase/urne avec draperie. Le tympan est sculpté de feuillages en relief sortant du cadre.

La partie centrale est accostée de deux plaques de granite bleu turquin portant les morts des guerres de 1870 et 1914-1918 ; elles portent chacune une couronne de chênes accrochée à un cartouche oblong. Sous ces deux plaques ont été rapportées deux plaques de granite de même couleur sur lesquelles figurent les noms des lycéens morts durant la guerre 1939-1945. Postérieurement on été ajoutées des plaques portant les noms des morts des guerres d’Indochine, Algérie et coloniales, des élèves juifs déportés, ainsi qu’un rappel des élèves engagés dans un réseau de résistance propre au lycée, le 17ème barreau.

Le bas relief central de marbre blanc s’ordonne entre la verticalité du personnage féminin debout, la Victoire aux ailes déployées et l’horizontalité du soldat gisant à ses pieds.

Couverture du livret d'inauguration

Livret d’inauguration du Monument – Source BNF Gallica

De part et d’autre de la Victoire, comme protégés sous ses ailes, deux groupes de trois personnages : à gauche une veuve, les yeux tournés vers la Victoire, tenant son petit enfant dans les bras, tandis que son autre enfant tend ses bras vers la victoire, comme il le ferait avec son père et à droite trois jeunes – deux garçons et une fille. Les garçons sont traités comme de jeunes éphèbes nus. Le garçon du premier plan adopte une posture signifiant qu’il protège les deux autres jeunes placés en léger retrait. Le soldat au sol a son buste redressé par une femme qui oriente son visage vers la Victoire afin qu’il voit que son sacrifice n’a pas été vain. De son côté la Victoire tient dans sa main droite la palme du martyr et la couronne symbole de la victoire.

Dans un registre esthétique antique le sculpteur a voulu montrer comment la Victoire ailée récompense les morts et les vivants tout en soulignant la force de la relève, les fils remplaçant les pères, en dignes héritiers des héros antiques.

 

Fix-Masseau sculpteur (1869-1937)

Directeur de l’Ecole des Arts décoratifs de Limoges jusqu’en 1935, et conservateur du Musée Adrien-Dubouché (1907-1936), il est à la fin du XIXe siècle l’un des artistes reconnus de l’art décoratif moderne. Il crée des objets dans lesquels le fantasme et le rêve se mêlent à l’évocation de la nature. Son goût marqué pour la figure féminine associée à des motifs floraux, sa fascination pour l’insolite, son intérêt pour les objets domestiques en font l’un des représentants de l’Art nouveau mais également du symbolisme. Il est exposé au Musée d’Orsay.

Il a réalisé en 1926 le monument aux morts de l’École militaire d’infanterie de Saint-Maixent, ainsi que de nombreux masques mortuaires dont celui du romancier et académicien Paul Bourget. Il exécuta un Monument à Charles Baudelaire, érigé en 1936 dans le jardin du Luxembourg à Paris, et inauguré le 22 avril 1941.

 

Références / Sources

  • Association des anciens élèves, fonctionnaires et anciens fonctionnaires du lycée Gay-Lussac, A nos morts. Inauguration du monument commémoratif. Les Noms glorieux. Liste des souscripteurs et des anciens élèves, Limoges, Impr. Guillemot et de Lamothe, 1922.
  • Jean Orabona, Livre du centenaire de l’association des anciens élèves, fonctionnaires et anciens fonctionnaires du lycée Gay-Lussac.( 1867-1967), 1969
  • Philippe Grandcoing, Michel Kiener, Michel Métrot et Pascal Texier, « Les destins d’un lycée : Gay Lussac, Limoges », Ed. Culture et Patrimoine en Limousin, 2011.
  • Françoise Maison Conservatrice des Antiquités et Objets d’Arts de la Haute Vienne 2017.

Plus d’informations sur les Monuments aux morts

 

Devoir de Mémoire

Le devoir de mémoire fait partie intégrante des missions de l’association. Chaque année, une commémoration a lieu au mois de novembre, par l’Association des anciens du lycée avec la participation des élèves.  A l’initiative de l’Association des Anciens de Gay-Lu, avec le soutien du Lycée, une restauration du Monument au mort a été réalisée durant l’été 2017.

 

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Ce texte est une mise à jour de celui initialement publié le 13 juillet 2017.

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