Suivez l’actualité des publications des Anciens de Gay-Lu : parution d’un livre, sortie d’un film, exposition… Littérature, histoire, éducation… Vous avez une actualité que vous souhaitez partager avec le réseau, quel qu’en soit le sujet, faites-nous en part et nous en ferons le relais dans cette rubrique !

Notre camarade Gérard Peylet, membre du CA des Anciens de Gay-Lu, nous propose aujourd’hui le 1er volume des chroniques parues sur son blog « Réflexions d’un promeneur libre », en 2020. Des chroniques aux sujets extrêmement divers, écrites en dehors de toute prise de position politique ou idéologique, à seule visée humaniste.

 

Photomontage signé Fabienne Marlé-Liger.

Le mot de l’éditeur

Ces chroniques, sur des sujets extrêmement divers, ont été écrites en dehors de toute prise de position politique ou idéologique. Leur seule visée est humaniste.

L’auteur est convaincu qu’au-delà de toutes les évolutions historiques et politiques, les valeurs qui placent la personne humaine au-dessus de toutes autres sont des points stables auxquels il faut se raccrocher. Quand le temps est mauvais, il faut garder ces points d’ancrage, il faut laisser dans notre réflexion une place à l’interrogation et au doute. S’interroger, c’est s’engager pour la liberté, la tolérance. Douter c’est savoir remettre en question les idées toutes faites. N’est-ce pas apprendre aussi à penser par soi-même ?Devant le déferlement médiatique qui mêle si souvent les fausses nouvelles aux vraies nouvelles, il ne faut pas hésiter à faire entendre toutes les voix positives qui n’ont pas cessé de s’exprimer.

L’auteur espère proposer une réflexion libre. Son intention n’est pas d’imposer des conclusions mais d’offrir à ses lecteurs l’occasion de poursuivre un questionnement.

 

« En toute liberté. Chroniques d’un citoyen humaniste. » de Gérard Peylet. Editions Edilivre . Mars 2021.
Livre broché, format 134x204mm. 132 pages. ISBN : 9782414521395. Prix de vente conseillé : 14€ en version papier (4,99 € en numérique).

 

Biographie de l’auteur

Gérard PeyletGérard Peylet, professeur émérite à l’université de Bordeaux-Montaigne est spécialiste de littérature moderne et contemporaine. Président de l’ARAL (Association Régionale des Amis du Limousin), Gérard Peylet est engagé de longue date au sein de l’association des Anciens de Gay-Lu de Limoges. Parmi ses ouvrages : « Ce territoire auquel on appartient », « Joseph Rouffanche, une grande voix poétique ».

 

Après 3 tomes couronnés de 3 prix littéraires, notre camarade Philippe Grandcoing revient avec un nouveau roman historique. « La Conspiration hongroise » nous plonge, aux côtés de son enquêteur vedette Hippolyte Salvignac, dans un mystérieux complot politique international au temps de la Belle Epoque, entre Paris et Vienne.

 

La Conspiration hongroiseLe Mot de l’Editeur

Paris, printemps 1909. L’inspecteur Lerouet est confronté à un cadavre anonyme retrouvé poignardé en pleine rue, l’obligeant à faire appel à son vieil ami Hippolyte Salvignac et à Léopoldine, sa compagne, artiste peintre à la sensualité débordante. Au fil de leurs investigations, ce trio d’enquêteurs exhume un mystérieux complot politique aux ramifications internationales, alors que se multiplient les assassinats dans la communauté des artistes hongrois exilés en France. Au moment même où Clemenceau perd le pouvoir, réussiront-ils à sauver l’Europe de la catastrophe ?
Leurs aventures vont les mener jusqu’à la Vienne de Klimt et de Freud, à la découverte de la capitale de toutes les audaces intellectuelles et artistiques de la Belle Epoque, où se cache la clé de l’énigme.

« La conspiration hongroise », Editions De Borée. Collection : Vents d’histoire – Mars 2021 – Couverture : brochée – Format : 15 cm x 23 cm – 276 pages – ISBN : 2812927135 – 19 €

 

L’auteur

Philippe GrandcoingPhilippe Grandcoing est professeur agrégé d’histoire en classes préparatoires aux grandes écoles (hypokhâgne et khâgne) au Lycée Gay-Lussac à Limoges. Spécialiste de l’histoire de la société limousine des XIXe et XXe siècles, il consacre son talent d’historien à sa région. Auteur de nombreux ouvrages historiques et universitaires, il s’illustre dans le roman historique avec les enquêtes de l’antiquaire Hippolyte Salvignac. Philippe Grandcoing est engagé dans l’association des Anciens de Gay-Lu, en tant que membre du Comité.

En cette fin d’année, notre camarade Florence Levet, ancienne de Gay-Lu, nous livre un nouveau roman policier à déposer sous le sapin. Avec « Sous un tas de pierre », elle nous entraîne dans un village du Lot et nous révèle les surprises que peut réserver un choix de changement de vie… 

 

Le mot de l’éditeur

Sous un tas de pierreLe secret d’un mur écroulé.

Imaginez que vous venez d’ouvrir le chantier de rénovation d’une antique demeure dont vous avez fait l’acquisition, dans un charmant village du Lot, et que, sous un tas de pierres, vos ouvriers découvrent soudain un squelette humain.

C’est la triste aventure que connaît Marianne, jeune Parisienne qui a souhaité fuir la capitale après une rupture sentimentale et qui comptait bâtir là sa nouvelle existence, mais qui se trouve, bien malgré elle, plongée dans un drame au mystère non élucidé survenu quelques années plus tôt, dans la famille particulièrement originale de l’artisan qui dirige les travaux.

L’enquête est relancée, les hypothèses vont bon train. Saura-t-on jamais la vérité sur cette affaire bien ténébreuse ?

 

« Sous un tas de pierres » de Florence Levet, Nombre 7 Editions, parution Décembre 2020.
Dos carré collé – 148x210mm – 674 pages – ISBN : 978-2381533582 – Prix public (format papier) : 23€

 

Florence LevetJuriste de formation, universitaire et mère de famille nombreuse, Florence Levet consacre ses loisirs à l’écriture et à la musique. Auteure de nombreux romans, elle est engagée depuis de nombreuses années dans l’association des Anciens de Gay-Lu.
En savoir plus sur le parcours de Florence

 

Anciennes et anciens de Gay-Lu, vous avez vous aussi récemment publié un livre, réalisé un film ou même enregistré un album ? Faites-le nous savoir afin que nous puissions relayer l’information sur le Mag !

Notre camarade Gérard Peylet, ancien de Gay-Lu engagé dans le champ de la littérature, nous livre ici un essai sur Le Territoire auquel on appartient. Une réflexion personnelle et théorique, illustrée de l’exemple de Georges Sand, qui renvoie tout naturellement à son propre attachement au Limousin, dont il porte haut les couleurs au travers de l’ARAL. 

Cet essai a fait l’objet d’une belle mise en avant dans un article du Populaire du Centre du 6 novembre 2020 : « Le sentiment d’appartenance à un territoire, objet d’un remarquable livre de l’universitaire limousin Gérard Peylet« .

 

Ce Territoire auquel on appartient

Illustration de Fabienne Marié-Liger

Le mot de l’éditeur

L’homme et la terre qu’il peuple depuis des siècles sont « interactifs ». L’un influence l’autre. Ce lien n’est-il pas un cordon nourricier qui nous lie aux éléments ? Il n’y a pas de production mécanique de ce sentiment d’appartenir à un terroir. Répond-il aujourd’hui à une perte ? En ces temps de crise sanitaire que nous traversons, la question devient encore plus aiguë et prend tout son sens.

L’auteur n’a pas choisi l’écriture autobiographique pour analyser ce sentiment. Il a préféré livrer ses réflexions en utilisant deux modes d’analyse : celui de la réflexion personnelle et théorique et celui de l’exemple littéraire. Pour accompagner son propos, il a choisi l’œuvre de George Sand qui convenait parfaitement à chacun des thèmes soulevés.

Ce sentiment laisse entendre que tout se reconfigure sur un mode imaginaire, que c’est un vivre. Il est peut-être aujourd’hui un refuge contre tout ce qui menace notre identité. N’assure-t-il pas un équilibre dans ce mouvement pendulaire qui nous tourne aujourd’hui, tantôt vers le mondial, tantôt vers le local ?

La constitution d’une identité « territoriale » permet à l’homme moderne de transporter avec lui un espace identitaire intériorisé qui lui sert de défense et de protection face à un mode de vie qui l’invite à se disséminer, s’aliéner, à vivre de manière consumériste dans l’immédiateté et la superficialité des rapports.

Celui qui a le sentiment « d’appartenir » essaie peut-être de lutter contre un monde qui tente de nous mettre hors de nous-mêmes.

 

« Ce Territoire auquel on appartient ». Essai de Gérard Peylet. Edité chez Edilivre. Octobre 2020
Format 134x204mm, 86 pages. ISBN 9782414499663. A partir de 4,99 € (version numérique).

 

Gérard PeyletL’auteur

Gérard Peylet, professeur émérite à l’université de Bordeaux Montaigne, est spécialiste de littérature moderne et contemporaine. Ancien du Lycée Gay-Lussac de Limoges, il est président de l’ARDUA (Association Régionale des diplômés d’Aquitaine) qui remet chaque année son grand Prix littéraire dans les salons de la mairie de Bordeaux et président de l’ARAL (Association Régionale des Amis du Limousin).

Vous les connaissez probablement, ils sont tous trois originaires de Corrèze, amis d’enfance. Avec le groupe Trois Cafés Gourmands, Sébastien Gourseyrol, professeur de mathématiques, « ancien » du Lycée Gay-Lussac partage la vedette avec Mylène Madrias, intermittente du spectacle et de Jérémy Pauly, ingénieur. Ils ont su faire de leur passion pour la musique leur métier, et avec talent ! Ils reviennent aujourd’hui avec un nouvel album « Comme des enfants », et une tournée est d’ores et déjà programmée pour 2021.

 

Comme des EnfantsLe Mot de l’Editeur

Véritable phénomène, le groupe découvert en juin 2018 dernier a atteint des records.

Trois Cafés Gourmands signe son grand retour sur le devant de la scène musicale !

En 2018, le groupe avait fait danser la France entière avec leur tube « À nos souvenirs ». Cette déclaration d’amour à leur région, la Corrèze, est passée en boucle à la radio, la télévision et dans tous les villages de l’Hexagone.

Avec plus de 350.000 exemplaires écoulés et quelques plusieurs centaines de millions de streams, ils reviennent avec un nouvel album intitulé : « Comme des enfants ».

 

Album « Comme des Enfants » par Trois Cafés Gourmands. Sortie : octobre 2020
Disponible chez les meilleurs disquaires et sur toutes les plateformes de streaming.

 

Extrait de l’album

 

Rappelez-vous, nous les avions croisés à Limoges, en mai 2019, lors du tournage d’un de leurs clips au Lycée au Gay-Lussac. Retour sur la rencontre.

L’Amiral Alain Coldefy publie ses mémoires, « Le sel et les étoiles », préfacées par l’Amiral Philippe de Gaulle et Erik Orsenna. Retour sur le parcours remarquable de cet Ancien du Lycée Gay-Lussac qui présidera le prochain Banquet parisien, dont la date reste encore à préciser [NDLR : la rencontre finalement est fixée au 18 juin 2022].

 

Retour sur un parcours remarquable

L’Amiral Coldefy a commandé les plus grands navires de guerre de la Marine Nationale, notamment le porte-avions Clémenceau ; il a participé à la plupart des opérations de maintien de la paix de ces 30 dernières années (Irak, Kosovo).
Le sel et les étoilesIl est fils de médecin militaire, né à Limoges. Après Gay-Lu et le Prytanée militaire de La Flèche, il intègre l’Ecole Navale.

Son ouvrage ne vante nullement ses exploits, il préfère partager avec le lecteur sa perception des grands enjeux géostratégiques mondiaux. Il évoque notamment notre rang de 2e puissance maritime du globe après les Etats-Unis, loin devant le Russie ou la Chine. La Chine construit actuellement 6 porte-avions nucléaires, la Russie entretient des bases avancées pour lui permettre de projeter ses forces armées. La Turquie est à l’offensive en Méditerranée… et les Etats-Unis ne sont pas en reste. Mais la France a-t-elle les moyens de ses ambitions en termes de capacité militaire : il y a un hiatus entre la taille de notre empire maritime et les moyens dont nous disposons, même si un porte-avions devrait succéder au Charles-de-Gaulle en 2038 ?
Il évoque également les problèmes de sécurité internationale en citant l’ONU, qui est à bout de souffle mais nul ne voit aujourd’hui comment la renouveler.

La mer ouvre de grands horizons pour de nouveaux défis en matière économique, mais la volonté politique est nécessaire.

N.B. L’Amiral Coldefy devait présider le Banquet parisien en juin 2020, mais face à la situation sanitaire, il a été décidé de reporter l’événement à une date ultérieure.

 

Le mot de l’Éditeur

Ce livre est le témoignage inédit et riche d’un homme qui a incarné la puissance militaire française pendant toute sa longue carrière. Conscient des enjeux géostratégiques et de l’attente que le monde a de la France, il nous offre sa vision éclairée et nous raconte aussi avec passion ses aventures au bout du monde.

Il a navigué sur toutes les mers. Pacha de frégate, puis de porte-avions et enfin amiral commandant de la force aéronavale, il a connu la plupart des crises internationales de ces dernières décennies. Il était sur la Méditerranée quand le Proche-Orient connaissait les secousses de la guerre de Kippour. Il était à la barre quand la guerre Iran-Irak imposait une surveillance du golfe arabo-persique. Il était à la tête de la flotte française pendant le conflit au Kosovo.

Dans ces missions à haut risque, Alain Coldefy a développé une perception sensible de la stratégie internationale et un sens aigu de l’indépendance militaire de la France. Au point de s’opposer, quand il l’a fallu, à un contre-amiral américain qui voulait le voir déguerpir au plus vite pour mieux écraser Srebrenica sous un déluge de feu.

Par la suite, Alain Coldefy a été directeur des relations internationales des armées, développant une vision politique et militaire qui lui permet d’établir un nouvel équilibre des forces. Aujourd’hui, loin des terrains d’affrontements, l’Amiral nous livre ses expériences passionnantes, ses anecdotes qui font l’Histoire et ses conceptions géostratégiques lucides et fondées.

 

Le sel et les étoiles, par l’Amiral Alain Coldefy, Favre Pierre-Marcel Eds. Septembre 2020.
253 pages. Format 15x23cm, ISBN 2828918475.  Prix de vente 25 € .

Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas en librairie sur vous trouverez cette production, mais sur la toile, au cinéma.
Ancienne élève de classe prépa littéraire au Lycée Gay-Lussac, Patricia Bardon réalise ici une fiction entre sourire et gravité, qui  traite avec humour et un brin d’irréalisme d’un sujet contemporain : l’amour et le sexe confrontés à la fragilité du couple, et aux rencontres faciles sur internet.

Une rencontre avec la réalisatrice est proposée par Laurent Bourdelas au Lycée Gay-Lussac.

 

Nana et les filles du bord de mer - Droits réservés

SYNOPSIS

Un village en bord de mer où Internet est arrivé. « C’est Mathieu qui a commencé » dit Nana dans le prologue. C’est ainsi que Nana, princesse boudeuse et sans tabou, part en guerre sur les réseaux sociaux, pour y séduire, comme son homme. Pour elle le sexe n’est rien, les sentiments sont bien plus impudiques. Mais les lles du bord de mer s’en mêlent. Et elles agrémentent les jeux de l’amour et du hasard de facéties incongrues. Les désirs et les amours contrariés vont et viennent au rythme des clics, comme au rythme des marées, dans des situations aussi irréalistes et farfelues, que réelles et contemporaines…

« Nana et les filles du bord de mer », fiction de Patricia Bardon
Durée 1h18 – Production déléguée et distribution : Cassia’s Productions – Numéro de visa : 152.623 – 2019 – Sortie en salles : août 2020

 

BANDE-ANNONCE

 

Patricia BardonAprès avoir effectué ses classes d’Hypokhâgne et Khâgne au Lycée Gay-Lussac de Limoges et validé une Licence de Lettre, Patricia Bardon suit le cours Florent, le cours Roland Barthes au Collège de France, puis le cours de Jean Douché à Jussieu, avant d’intégrer la FEMIS où Jacques Doillon sera son parrain. Ses courts métrages « Flagrant délit » et « Cinéma de Minuit » puis son long métrage « L’homme imaginé » sont remarqués en festival.  Avec « Nana et les filles du bord de mer », Patricia signe aujourd’hui une fiction drôle et acidulée, dans un village de pêcheurs du Nord de la France où elle a vécu durant 15 ans.

 

Vous êtes ancien/ancienne du Lycée Gay-Lussac et avez signé un livre, un film, un album ? Faîtes-vous connaître ! Nous nous ferons le relais de votre actualité auprès du réseau des Anciens de Gay-Lu. Contactez-nous !

Nous retrouvons avec plaisir l’antiquaire-détective Hippolyte Salvignac pour une nouvelle enquête signée de notre camarade Philippe Grandcoing, professeur agrégé en CPGE à Gay-Lussac, engagé dans l’association des Anciens de Gay-Lu. Après Le Tigre et les pilleurs de Dieu, puis Le Faubourg des diaboliques, il signe là une troisième aventure, « Tuer est un art » qui se déroule en 1908 dans la Normandie de Claude Monet et de Maurice Leblanc.

 

Tuer est un art

Le Mot de l’Editeur

Point de repos pour Hippolyte Salvignac, l’antiquaire entré au service de la police de Clemenceau. Un mystérieux cadavre vient d’être découvert à Giverny, à deux pas de la maison du peintre Claude Monet. Flanqué de son inséparable complice, l’inspecteur Lerouet, le voilà plongé au coeur d’une intrigue où l’on ne compte plus les crimes extraordinaires : assassinat du peintre Steinheil, époux de l’ancienne maîtresse du président de la République, meurtre du beau-frère de Claude Monet dans son hôtel particulier…
Aidé par Maurice Leblanc, le créateur d’Arsène Lupin, Hippolyte tente de démêler l’écheveau de ces multiples intrigues. Une enquête captivante et haletante, où une nouvelle fois s’entremêlent les monde de l’art, de la politique et du crime.

 

Tuer est un art – Éditions De Borée – Collection : Vents d’histoire – Mars 2020 – Couverture : brochée – Format : 15 cm x 23 cm – 294 pages – ISBN : 9782812926464 – 19,90 €

 

 

Philippe GrandcoingPhilippe Grandcoing est professeur agrégé d’histoire en classes préparatoires aux grandes écoles (hypokhâgne et khâgne) au Lycée Gay-Lussac à Limoges. Spécialiste de l’histoire de la société limousine des XIXe et XXe siècles, il consacre son talent d’historien à sa région. Auteur de nombreux ouvrages historiques et universitaires, il s’illustre dans le roman historique avec les enquêtes de l’antiquaire Hippolyte Salvignac.

Philippe Grandcoing est engagé dans l’association des Anciens de Gay-Lu, en tant que membre du Comité.

Native de Limoges, ancienne élève du Lycée Gay-Lussac, Éva Barrière publie son premier livre « Dédale » aux éditions Lysbleu. Ce recueil de nouvelles est le résultat d’une aventure remontant à l’adolescence.

 

Dédale de Eva BarrièreAu travers de ces sept nouvelles, l’auteure vous invite à pénétrer dans ce dédale contemporain et à suivre différents chemins de vie.

La vie, cet ingénieux labyrinthe, ne propose qu’une seule porte d’entrée et de multiples couloirs dans lesquels l’on peut se perdre ou se trouver. Les personnages de ces histoires, Virginie, Nora, Napoléon… ne sortiront pas indemnes de ces voyages, de ces parcours de vie qui vous modifient irrémédiablement.

 

« Dédale », d’Éva Barrière, éditions Le Lys Bleu. Parution Mars 2020.
Livre broché, 136 pages. Format 19cmx12cm. ISBN 103770813X. Prix de vente conseillé  13,50 €

 

Native de Limoges, Éva Barrière y a suivi toute sa scolarité, au collège Maupassant puis au Lycée Gay-Lussac, avant de poursuivre ses études à la Faculté de Lettres de Vanteaux. Elle est aujourd’hui enseignante dans la Drôme. L’écriture a toujours été pour elle une évidence. Éva Barrière garde des attaches familiales à Limoges.

 

Notre camarade, Gérard Peylet livre un nouvel essai « L’intime en question aujourd’hui ». Après sont précédent ouvrage sur l’éducation, il est ici question de l’intime.

Gérard Peylet, L'intime en question aujourd'huiL’intime est une dimension importante de la vie humaine. Quelles seraient les conséquences de sa disparition? En ces temps de crise sanitaire, la question devient encore plus aiguë.

L’intime est une catégorie de pensée difficile à cerner. C’est ce qui est « plus intérieur à moi que ce que j’ai de plus intérieur », selon la définition qu’en donne Augustin dans ses Confessions. L’intime peut être à la fois le plus essentiel et le plus secret, se dérobant aux autres , et aussi ce qui nous associe le plus profondément à l’Autre et porte au partage avec lui.

Aujourd’hui, l’intime se trouve au centre d’une contradiction. Incontestablement il est lié à la modernité et cependant le monde actuel est une menace pour l’intime alors que jamais il n’a été, à l’heure de la mondialisation, aussi nécessaire . L’expérience de l’intime passe par la sensibilité pour accéder à des réalités profondes auxquelles la raison cartésienne ne peut avoir accès, à une part obscure et profonde de nous-même qui reste invisible, car elle est de l’ordre du mystère, du non savoir. C’est une autre forme de connaissance -non reconnue par les scientifiques- qui ne peut passer que par l’expérience subjective.

« L’intime en question aujourd’hui », Gérard Peylet, Edilivre, Juin 2020
ISBN 978 241 446 4227 – Prix conseillé : 9,50 €

 

Gérard PeyletGérard Peylet est Professeur émérite de littérature moderne et contemporaine à l’Université de Bordeaux Montaigne. Gérard Peylet est impliqué dans différentes associations,  président de l’ARDUA (Association Régionale des diplômés d’Aquitaine) qui remet chaque année son grand Prix littéraire dans les salons de la mairie de Bordeaux, président de l’ARAL Association régionale des amis du Limousin et membre actif du conseil d’administration de l’association des Anciens de Gay-Lu .